Dans l’univers complexe de la gestion de projet, les risques sont omniprésents. Ils peuvent émerger à tout moment, mettant en péril des mois, voire des années de travail acharné. C’est un art subtil qui peut transformer les obstacles en opportunités, les menaces en avantages compétitifs.
A- Stratégie pour faire face aux risques
La bonne stratégie consiste à faire face aux risques et transformer chaque défi en opportunité.
- Éviter les Risques : Lorsque l’incertitude plane, il est parfois préférable de simplement la dissiper. La stratégie de l’évitement des risques consiste à supprimer complètement une situation qui pourrait déclencher un risque. Par exemple, si un projet nécessite l’utilisation d’un équipement notoirement peu fiable, le chef de projet peut choisir un équipement plus sûr pour éliminer le risque. A titre d’exemple, une entreprise de construction peut éviter le risque de délais en utilisant un fournisseur de matériaux réputé pour sa fiabilité, écartant ainsi la menace potentielle de retards.
- Réduire les Risques : Parfois, les risques ne peuvent être complètement écartés, mais ils peuvent être apprivoisés. Réduire les risques implique de minimiser la probabilité de leur survenue ou de réduire leur impact. Par exemple, dans un projet de construction, des mesures de contrôle strictes, telles que des inspections régulières et des protocoles de suivi, peuvent réduire le risque de retard. Par exemple, un projet de développement logiciel peut réduire les risques en mettant en place des tests automatisés pour identifier et corriger les bugs avant qu’ils ne deviennent des problèmes majeurs.
- Transférer les Risques : Parfois, il est judicieux de passer le flambeau du risque à une autre entité. Cette stratégie consiste à transférer la responsabilité des risques à une tierce partie, telle qu’un assureur, un fournisseur ou un sous-traitant. A titre d’exemple, un projet de construction peut transférer le risque de retards aux sous-traitants en incluant des clauses de pénalité pour les retards dans les contrats.
- Accepter les Risques : Il arrive que certains risques ne puissent ni être évités, ni réduits, ni transférés. Dans ces cas, la meilleure stratégie est d’accepter le risque et de mettre en place des mesures de contingence pour faire face aux conséquences si le risque se matérialise. C’est le cas par exemple, d’un projet de développement de produit innovant qui est obligé d’accepter le risque de retards en prévoyant des ressources supplémentaires pour accélérer le processus si nécessaire.
- Mitiger les Risques : Enfin, la stratégie de mitigation consiste à réduire l’impact des risques en préparant des plans de contingence et en mettant en place des mesures de réduction des dommages. C’est le cas par exemple d’une entreprise agricole qui peut mettre en place des systèmes d’irrigation d’appoint pour minimiser les impacts des sécheresses prévues.
La clé de la réussite réside dans la combinaison judicieuse de ces stratégies, en fonction des circonstances et de la nature des risques. La gestion des risques n’est pas une science exacte, mais un art subtil. Il s’agit de sculpter votre projet, de danser avec l’incertitude, et de transformer chaque menace en opportunité. Soyez le maître de l’incertitude, et triomphez des défis qui se dressent sur votre chemin vers le succès en gestion de projet.
B- Etapes de la gestion des risques :
1 – Identification des risques :
La première étape cruciale dans la gestion de projet qui sépare les professionnels aguerris des amateurs est l’identification des risques. C’est le moment où l’on scrute l’horizon du projet, où l’on détecte les ombres menaçantes qui pourraient obscurcir notre chemin vers le succès. Pour tout expert en gestion de projet, cette phase est le fondement de la réussite, car elle permet de minimiser les menaces en les mettant à jour dès le départ.
Voici les étapes clés qui vous guideront vers la maîtrise de l’identification des risques :
- Évaluation des Risques Potentiels : Vous démarrez fort en évaluant de manière pointue les risques potentiels qui planent sur chaque facet de votre projet. Équipez-vous d’outils puissants tels que la Matrice SWOT, l’analyse PESTEL et l’impact environnemental pour décortiquer chaque menace. Cette étape va vous permettre de révéler les risques majeurs à surveiller de près.
- Identification des Risques : L’heure est venue de passer à l’action. Vous devez traquer les risques en utilisant les informations précieuses que vous avez récoltées lors de l’évaluation. Ne négligez pas les risques qui pourraient surgir de l’interaction complexe entre les différentes activités du projet.
- Documentation des Risques : Il est impératif de laisser une trace écrite de chaque risque identifié. Cette documentation doit être complète, couvrant la nature du risque, son potentiel impact sur le projet, la probabilité de sa réalisation, et les actions à entreprendre pour le contrôler.
- Classification des Risques : Le tri est de rigueur. Classez vos risques en fonction de leur potentiel impact sur le projet. Vous distinguez ainsi les risques majeurs, les risques mineurs et les risques négligeables. Cette classification est un atout pour établir vos priorités.
- Validation des Risques : Enfin, validez chaque risque en évaluant soigneusement sa probabilité de survenue et son impact sur le projet. Les risques majeurs doivent retenir toute votre attention en premier lieu.
L’identification des risques est une affaire d’équipe. Pour une vision globale et équilibrée des risques, réunissez une équipe aux compétences variées. Des experts du marketing, de la production, des finances et des ressources humaines forment une alliance puissante pour débusquer tous les risques potentiels.
Une fois les risques mis en lumière, passez à l’étape suivante : l’évaluation des risques. C’est ici que vous déterminerez la probabilité de leur concrétisation et leur impact réel sur le projet. En suivant ces étapes avec discipline, vous jetterez les bases d’un projet solide et résilient face à l’adversité.
2 – Évaluation des risques :
L’évaluation des risques, une étape cruciale dans la gestion de projet, c’est un peu comme jouer aux échecs. Vous avez identifié vos adversaires, ces menaces potentielles qui pourraient compromettre votre projet, mais maintenant, il est temps de déterminer leur puissance de frappe et leurs chances de succès. Voici comment cela fonctionne, illustré par des exemples concrets.
Prenons un exemple de projet de construction. Vous avez identifié un risque potentiel lié aux conditions météorologiques. L’évaluation des risques consistera à évaluer à quel point ces conditions peuvent retarder le projet. Quelle est la probabilité que des intempéries surviennent pendant la saison de construction ? Quel serait l’impact sur le calendrier si cela se produisait ? Vous pourriez également examiner les coûts associés à la protection du chantier contre les intempéries. L’ensemble de ces données contribue à quantifier le risque météorologique.
Maintenant, pour évaluer ce risque, vous avez deux méthodes à disposition : l’analyse quantitative et l’analyse qualitative. L’analyse quantitative, c’est comme consulter des archives météorologiques pour déterminer combien de jours par an la région subit des conditions météorologiques adverses. Vous attribuez ensuite une valeur en jours de retard à cet événement. D’un autre côté, l’analyse qualitative se base sur des expertises pour évaluer à quel point le risque météorologique est plausible et les conséquences possibles sur le projet.
Lorsque vous évaluez ces risques, ne négligez pas certains éléments clés. La gravité de l’impact, la probabilité d’occurrence, le délai de réalisation, et bien sûr, le coût lié à la gestion des risques sont des facteurs à prendre en compte. Dans notre exemple, le retard causé par des conditions météorologiques défavorables peut entraîner des coûts supplémentaires en main-d’œuvre et en équipement.
Maintenant, armé de ces évaluations, vous devez élaborer un plan de gestion des risques. Revenons à notre projet de construction : vous pourriez décider d’investir dans des abris temporaires pour le chantier, d’établir des accords contractuels avec des fournisseurs flexibles pour compenser les retards, ou même d’ajuster le calendrier en conséquence. Ces actions font partie de votre plan de gestion des risques, conçu pour minimiser les risques ou, à défaut, pour les gérer de manière efficace.
En fin de compte, l’évaluation des risques est le point d’ancrage de la réussite du projet. Vous avez cartographié les dangers potentiels, vous avez évalué leur menace, et maintenant, vous êtes prêt à les contrer. C’est la formule magique pour assurer que votre projet atteigne le succès tant espéré.
3 – Méthode et techniques d’analyse des risques :
Après avoir traqué les ombres menaçantes qui planaient sur votre projet, il est temps de les interroger, de déterminer leur niveau de dangerosité et de préparer une stratégie pour les maîtriser. L’évaluation des risques, c’est la phase où vous devez attribuer des visages à ces menaces et leur donner un classement, de manière à agir en conséquence. Pour cela, nous avons à notre disposition des méthodes puissantes, chacune avec ses propres avantages.
Prenons, par exemple, un projet de lancement d’un nouveau produit. Vous avez identifié le risque qu’une pénurie de matières premières puisse affecter la production. L’évaluation des risques est votre outil pour quantifier cette menace. Vous allez évaluer à quel point il est probable que cette pénurie se produise (probabilité) et quel serait son impact si cela arrivait (impact).
La première méthode à considérer est la Matrice de Probabilité et d’Impact. Elle est comme une grille de cotation, où la probabilité est évaluée en termes de faible, modérée ou élevée, tout comme l’impact qui est noté en faible, moyen ou élevé. Les risques sont ensuite positionnés dans la matrice en fonction de ces évaluations. Par exemple, une pénurie de matières premières pourrait être classée comme ayant une probabilité élevée et un impact élevé, signalant un risque majeur.
Une autre méthode est l’Analyse de l’Arbre des Causes. Imaginez un arbre avec des racines représentant les causes profondes des risques. Dans notre exemple, ces causes pourraient inclure la dépendance excessive à un fournisseur unique de matières premières. Ces causes sont ensuite classées en fonction de leur impact potentiel sur le projet. L’analyse de l’arbre des causes aide à déterminer la hiérarchie des risques.
Il y a aussi la Méthode de Monte Carlo, une approche plus sophistiquée. Ici, des simulations sont utilisées pour évaluer les risques en prenant en compte toutes les variables pertinentes. Imaginons que vous créiez un modèle de simulation qui tient compte de la durée des tâches, du coût des ressources, des fluctuations des prix des matières premières, etc. En exécutant ces simulations, vous obtenez une évaluation précise des risques en fonction de leurs probabilités et de leurs impacts.

Source : https://www.researchgate.net/publication/29603442_Interaction_entre_erosions_hydrique_et_eolienne_sur_sols_sableux_patures_au_Sahel_cas_du_bassin-versant_de_Katchari_au_nord_du_Burkina_Faso
Le diagramme d’Ishikawa, également connu sous le nom de diagramme en arêtes de poisson, est un outil puissant qui vous aide à dénicher les racines des risques de votre projet, à la manière d’un détective chevronné traquant des indices.
Imaginez un projet de construction où les retards sont monnaie courante. Vous pouvez utiliser le diagramme d’Ishikawa pour comprendre pourquoi ces retards se produisent et comment ils affectent le projet. Les causes profondes de ces retards pourraient être multiples : problèmes de main-d’œuvre, approvisionnement en matériaux, conditions météorologiques, etc.
Bref, peu importe la méthode que vous choisissez, l’essentiel est de mener une évaluation exhaustive et précise. Vous devez tenir compte de tous les facteurs pertinents, impliquer les parties prenantes et recueillir leurs avis. Une fois que les risques ont été soumis à un interrogatoire minutieux, il est temps de planifier les réponses aux risques. Vous êtes maintenant prêt à élaborer une stratégie de défense pour affronter ces menaces et à faire en sorte que votre projet continue à avancer vers le succès. C’est la marque d’un véritable maître de la gestion de projet, capable de transformer les risques en opportunités.
4 – Planification des réponses aux risques
La planification des réponses aux risques, voilà l’étape qui sépare les gestionnaires de projet chevronnés des amateurs. Une fois que vous avez identifié les menaces, il est temps de passer à l’action, de mettre en place une stratégie solide pour faire face à ces défis. Voici un aperçu de cette étape capitale, éclairé par des exemples concrets et des stratégies éprouvées.
Prenons un projet de développement logiciel, par exemple. Vous avez identifié un risque potentiel lié à des retards dans la livraison des composants logiciels. La planification des réponses aux risques consiste à déterminer comment vous allez aborder ce problème.
1. Identification des Options de Réponse aux Risques : Tout d’abord, vous devez explorer les différentes options. Pour notre exemple, voici quelques options :
- Éviter les Risques : vous pourriez décider d’éviter les retards en changeant de fournisseur de composants ou en renforçant la gestion de projet.
- Transférer les Risques : vous pourriez transférer la responsabilité des retards potentiels à un fournisseur sous contrat qui garantit des délais stricts.
- Atténuer les Risques : vous pourriez mettre en place un système de gestion de projet plus rigoureux, avec des jalons clairs et des contrôles de qualité.
- Accepter les Risques : si les retards sont peu probables et n’auraient qu’un impact mineur, vous pourriez décider de les accepter.
2. Évaluation et Sélection des Options de Réponse aux Risques : Après avoir identifié ces options, il est essentiel d’évaluer leur efficacité et leur faisabilité. Dans notre exemple, vous pourriez décider de transférer la responsabilité à un fournisseur si cela est économiquement viable et si ce dernier a une solide réputation en matière de respect des délais.
3. Définition des Mesures Préventives et d’Atténuation : Vous devrez mettre en place des mesures préventives et d’atténuation pour chaque risque. Dans notre cas, cela pourrait signifier un suivi rigoureux des jalons du projet, des tests de validation plus fréquents, et des mesures de contrôle qualité renforcées.
4. Définition d’un Plan de Contingence : Envisagez un plan de contingence pour faire face aux pires scénarios. Si les retards deviennent inévitables malgré toutes les mesures prises, vous pourriez avoir un plan de communication d’urgence pour informer les parties prenantes et pour prendre des mesures correctives rapides.
5. Assignation de Responsabilités : Dans la gestion des risques, il est crucial d’assigner des responsabilités claires à chaque étape. Les membres de l’équipe de projet, ou même des groupes spécifiques en fonction de leurs rôles, doivent avoir des tâches assignées pour s’assurer que le plan est exécuté efficacement.
Maintenant, vous êtes prêt à affronter le risque des retards dans la livraison des composants logiciels avec une stratégie solide. Vous avez des mesures préventives, des plans d’atténuation, et un plan de contingence pour toutes les situations imprévues. Vous avez clairement défini qui fait quoi.
5 – Mise en place d’un plan de suivi :
La création d’un plan de suivi des risques est une étape cruciale dans la gestion de projet, et c’est ici que nous commençons à prendre les rênes pour garantir le succès. C’est un peu comme être aux commandes d’un avion – vous avez identifié les turbulences, et maintenant, vous allez surveiller leur évolution et prendre des mesures pour assurer un atterrissage en douceur. Voici comment mettre en place un plan de suivi des risques.
Prenons un exemple concret : imaginez un projet de lancement d’un produit technologique. Vous avez identifié un risque majeur lié au retard de fabrication des composants clés. Pour éviter que ce risque ne déstabilise votre vol vers la réussite, suivez ces étapes :
1. Listez les Risques à Suivre : tout d’abord, sélectionnez judicieusement les risques à suivre de près. Dans notre cas, le retard de fabrication est un risque incontournable, mais ne vous encombrez pas avec des risques moins significatifs. Concentrez vous sur ceux qui pourraient réellement faire dérailler le projet.
2. Définissez des Indicateurs de Suivi : Vous avez besoin d’outils de mesure clairs. Pour notre exemple, créez des indicateurs tels que le nombre de jours de retard, le coût supplémentaire engendré, ou la disponibilité des composants critiques. Ces indicateurs vous donneront une image précise de l’évolution de la situation.
3. Définir les Seuils d’Alerte : L’établissement de seuils d’alerte est essentiel pour savoir quand prendre des mesures. Si le retard dépasse un certain nombre de jours ou que le coût supplémentaire dépasse un certain seuil, c’est un signal pour agir. Ces seuils doivent être adaptés à la gravité du risque et à son impact sur le projet.
4. Établir une Fréquence de Suivi : Certains risques nécessitent une surveillance constante, tandis que d’autres peuvent être surveillés de manière périodique. Dans notre exemple, le retard de fabrication des composants doit être surveillé régulièrement, peut-être même quotidiennement.
5. Définir les Responsabilités : Désignez une personne compétente pour assurer le suivi des risques et la mise à jour du plan. Cette personne doit être en mesure d’analyser les indicateurs et de recommander des actions pour faire face aux risques.
6. Établir des Rapports de Suivi : Enfin, créez des rapports de suivi réguliers pour tenir les parties prenantes informées de l’évolution de la situation. Ces rapports doivent être clairs, concis et fournir des recommandations d’action si nécessaire.
La mise en place d’un plan de suivi des risques est la bouée de sauvetage de votre projet. Elle vous permet de garder un œil vigilant sur les risques critiques et de prendre des mesures préventives ou correctives au moment opportun.
C- Meilleures pratiques pour la gestion des risques dans le projet
La gestion des risques dans un projet est comparable à naviguer dans des eaux tumultueuses. Pour assurer votre succès, vous devez adopter des stratégies infaillibles. Voici les meilleures pratiques qui vous guideront vers la réussite :
- Impliquez toujours les parties prenantes : Imaginez votre projet comme un grand puzzle. Les parties prenantes détiennent des pièces vitales de ce puzzle. Leur implication permet d’assembler le tableau complet des risques potentiels. Par exemple, dans un projet de développement logiciel, les développeurs peuvent avoir un aperçu unique des risques techniques.
- Identifiez proactivement les risques : Imaginez-vous préparant un voyage. Identifier les risques tôt, c’est comme vérifier la météo avant de partir. Cela vous donne le temps de préparer un parapluie en cas de pluie. Par exemple, dans la construction, anticiper des retards dus aux conditions météorologiques peut permettre de réorganiser le calendrier.
- Évaluez toujours les risques d’une manière précise : Considérez cela comme évaluer le terrain avant de construire une maison. Une analyse rigoureuse des risques, prenant en compte l’impact potentiel et la probabilité, est essentielle. Par exemple, dans un projet d’événement, évaluer le risque d’annulation due à une pandémie est crucial.
- Élaborez un plan de gestion des risques : Imaginez cela comme un plan de vol détaillé pour un pilote. Un bon plan de gestion des risques détaille chaque aspect des risques identifiés et les actions à entreprendre si les choses tournent mal.
- Communiquez régulièrement sur les risques : Imaginez les risques comme des dragons. Les tenir à distance nécessite une communication constante. Informez les parties prenantes des risques, de leur probabilité et des plans d’action. Par exemple, dans un projet de lancement de produit, informer les investisseurs des risques de marché peut aider à établir des attentes réalistes.
- Faites preuve de souplesse : La gestion des risques est comme une danse, elle doit être fluide et adaptable. Soyez prêt à ajuster vos stratégies à mesure que de nouveaux risques émergent. Dans un projet de recherche scientifique, rester ouvert aux nouvelles découvertes qui pourraient modifier le projet initial est essentiel.
- Documentez toujours la gestion des risques : Imaginez cela comme un journal de bord pour votre voyage. Documentez chaque détail, chaque action, chaque leçon apprise. Cela non seulement garde une trace des risques tout au long du projet mais offre également des enseignements précieux pour les projets futurs.
En adoptant ces meilleures pratiques, vous devenez le maître de votre propre destin. Minimisez les risques, maximisez les chances de succès et menez votre projet vers des sommets inexplorés. Vous avez désormais les outils nécessaires pour surmonter tous les défis. Bon voyage vers le succès !